| Dernières réponses | |  Rikku marchait sur la gare. Le train n'était pas encore là. Un homme plutôt musclé, mais avec un peu de barbe et, à l'avis de Rikku, plutôt laid vient la voir. Il abordait un air drageur, et drogué. Rikku fronca les sourcils en éseignant de s'éloigner suptilement. Mais l'homme s'avancait vers elle, ses yeux étaient fiyés sur Rikku. Elle soupira bruyament quand il arriva à ses côtés, elle il ignora ce dernier geste.
-" Salut poupée... Ca boum? Tu vas où? Dis-moi pas loin d'ici, j'ai aps envie de payer trop cher pour passer les merveilleuses nuits que j'envisage avec toi... "
Rikku lui assèna un bon coup de poing, et le sang jaillit de ses narines. Il recula légérement, les mains sur la figure. Rikuk secoua sa main. Elle frappa son poing fermé dans sa paume de l'autre main ouverte en déclarant ses menaces.
-" Tu me fous la paix, sinon j'te renvoiyrais mon poing dans face, c'est tu clair mon 'tit con? Pi jamais j'penserai mes nuits avec tooy, fec pense-y même po. "
Quand elle eugueulait ou se chicaner, Rikku parlait EXTRÉMEMENT Québécois, avec l'accent et tout, alors, quand elle parla, l'homme parut pas tout à fait comprendr,e parce que l'accent etait chavirant. En bonne québécoise, Rikku avait toujours l'accent Québécois, mais ne parlait pas autant Québécois. La région ou elle avait vécut ressortait beaucoup à ses moment là. Elle se releva bien droite, puis elle ajouta une dernière parole avant de le quitter avec un sourire moqueur aux lèvre,s et avec un air qui démontrait très bien qu'elle riait de lui, mais avec un accent moin Québécois.
-" De toute manière, j'suis pas majeure. "
Et elle le planta là. Derrière elle, elle entendit nétement l'homme déclarer " Ces Québécoises... Tout des folles... " Rikku rentra dans le train qui venait d'arriver, ses cheveux lui arrivent aux fesse par-dessus ses épaules. Elle traîna ses vaqlises dans un compartiment, et s'endormit jusqu'a l'arrivé, où elle sortit rapidement du train avant de se diriger vers le château. Ou plutôt le vide. Il n'y avait rien à l'horizon, et il était net qu'elle devait avoir un guide. Elle regarda autour d'elle. Personne n'y était. Elle alla s'asseoir sur un des bancs en soupirant longement, avant d'apercevoir qu'une silhouette s'avancait vers elle. Elle sourit donc, en espérant que cette silhouette pourrait l'amener à ce collège.
hj: J'sais, gros message... Ca me temtait. 
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